AnduinOS : Une distribution Linux idéale pour les utilisateurs de Windows
Windows 10 vient de tirer sa révérence gratuite, l’addition arrive et elle pique.
AnduinOS débarque pile au bon moment : le look de Windows 11, le moteur d’Ubuntu, zéro rançon.
Je fonce voir si cette distribution Linux a vraiment trouvé la potion magique pour les hésitants.
Sommaire
AnduinOS transforme la peur du changement en clic réflexe
Conçu par Anduin Xue, ex-Microsoft, le système d’exploitation repose sur Ubuntu 25.10 et un kernel 6.17 tout frais.
L’ISO pèse à peine 2 Go, ça tient sur une clé USB comme un vieux MP3.
Version 1.4.0 « Questing Quokka » introduit Flatpak : l’app store affiche maintenant des centaines de logiciels en deux clics.

Une interface Windows qui rassure, un cœur GNU qui assure
Gnome 49 maquillé façon barre des tâches centrée, coins arrondis et menu démarrer bleu cobalt.
Pas une copie carbone : les angles morts ergonomiques de Windows 11 ont disparu, bye-bye le foisonnement de pubs.
Résultat : la expérience utilisateur reste familière tandis que les performances rappellent pourquoi on aime Linux.
Besoin d’un jeu Steam, d’un IDE lourd ou d’un vieux .exe via Wine ? Tout tourne sans gymnastique excessive.
Installation express, vraie compatibilité logicielle
Calamares guide les étapes : clavier, partition, café, reboot, fini.
Le noyau détecte Wifi, touchpad, GPU : plus de chasse aux pilotes obscurs.
La couche Flatpak ouvre la porte à Spotify, OBS, même Zoom, le tout dans un bac à sable propre.
Je montre souvent cette vidéo aux amis : ils voient l’USB booter en 30 s et arrêtent de transpirer.
Facilité de migration : copier-coller mental pour ex-windowsiens
Le panneau de contrôle liste les mêmes catégories que le glorieux « Panneau de configuration ».
Les raccourcis clavier sont pré-mappés : Win + E ouvre Files, Win + L lock l’écran, c’est instinctif.
La courbe d’apprentissage ressemble plus à une légère pente qu’à l’Everest ; je parle d’or, j’ai vu des juniors passer en une matinée.
Open source rime avec sérénité et vie privée
AnduinOS vire toute télémétrie invasive : pas de clés publicitaires, pas de Cloud obligatoire.
Le code vit sur GitHub, chacun peut auditer, fork ou corriger : la transparence est écrite dans l’ADN.
Avec Firejail activé par défaut, chaque appli a sa sandbox : c’est comme avoir un pare-feu personnel sur chaque fenêtre.
Un pari communautaire, pas un SaaS à abonnement
Support officiel jusqu’en juillet 2026, puis mise à niveau en rolling, sans réinstallation.
La communauté Mastodon s’emballe déjà : correctifs, thèmes, scripts, ça fuse comme sur un salon IRC de 2002.
Bien sûr le bus factor est faible, mais qu’elle alternative à Windows ne l’a jamais été ? Firefox, LibreOffice, c’est la même chanson et ils tiennent encore debout.
Pourquoi tenter l’aventure dès maintenant ?
Fin des patchs gratuits sur Windows 10, matos vieillissant qui refuse Windows 11 : l’équation devient simple.
AnduinOS offre un pont direct, agréable et gratuit vers un écosystème pérenne.
Je dis souvent : « Si tu peux cliquer sur Démarrer, tu peux migrer. » Ça fait rire, pourtant c’est la vérité nue.
Source: blog.nbb.com
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