ProtonDB : 90 % des jeux PC compatibles avec Linux en un clin d’œil !
90 % des jeux PC, oui tu lis bien, sont désormais jouables sous Linux d’après ProtonDB.
La barrière “Windows only” fond comme neige sous un kernel 6.9, et les excuses pour rester coincé sur l’OS de Redmond s’écroulent.
Voici les chiffres, les hacks et la petite dose d’ironie qui vont te donner envie de taper steam-native dans ton terminal dès maintenant.
Sommaire
ProtonDB confirme : la compatibilité Linux explose
Le dernier relevé de ProtonDB affiche 90 % de titres classés Gold ou Platinum, donc sans bidouille lourde.
Les blockbusters récents se lancent en deux clics, et même les vieilles perles DirectX 9 respirent grâce à Proton, la couche magique cuisinée par Valve.
Au passage, l’index dépasse les 25 000 jeux, une base qui grossit plus vite qu’un cache shader après un patch day.
Pourquoi Proton fonctionne si bien en 2025
Le combo vkd3d-proton + esync + fsync compense l’absence native de DirectX 12, et la communauté teste chaque build avant que tu n’ait fini ton café.
Les devs upstream fusionnent les correctifs dans Wine puis dans le tronc Proton, d’où une compat presque immédiate quand un AAA sort.
Je souris quand un joueur Windows râle sur un patch day : de mon côté, un simple sudo pacman -Syu et c’est plié.
Installer, lancer, jouer : zéro prise de tête
Avec le client Steam natif, je coche “Activer Proton pour tous les jeux” et basta, l’overlay m’indique la note ProtonDB sans quitter Big Picture.
Pour les boutiques alternatives, Heroic Games Launcher gère les bibliothèques GOG et Epic, tout en utilisant la même version de Wine.
Besoin d’un tweak ? Lutris et PlayOnLinux restent là, mais 9 fois sur 10 tu n’auras même pas à les lancer, c’est dire le progrès.
Steam Deck montre la voie du gaming nomade
La Steam Deck tourne sur Arch ; quand cette console hybride fait tourner Elden Ring en 800p stable, plus personne n’ose dire “Linux c’est compliqué”.
Son OS sert de labo, chaque mise à jour repercute instantanement sur le bureau : résultat, même ta vieille GTX 970 en profite.
Le message est clair : si ça marche en mode canapé sur une APU 15 W, ton PC fixe n’a aucune excuse.
Et maintenant, quelles limites ?
Les anti-cheats propriétaires restent la dernière citadelle, quelques FPS compétitifs trainent encore les pieds.
Cependant, Valve pousse les éditeurs à intégrer le module Proton Easy Anti-Cheat, déjà actif sur beaucoup de titres majeurs.
Honnêtement, en dehors d’un battle royale capricieux, je lance tout mon catalogue sans sueur froide depuis des mois.
Le mot de la fin ? Ose la migration
Des jeux, des perfs, un contrôle total sur son OS : le trio gagnant a rarement été aussi accessible.
Je ferme cet article, j’alt-tab sur Hades II, et je me rappelle qu’il tourne mieux chez moi que sur une machine Windows bourrée de DRM.
À toi de compiler le bonheur !
Source: www.golem.de
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