Omarchy : Une Distribution Linux Éblouissante Pour Optimiser Vos Stations de Travail
Omarchy arrive dans l’arène comme un pingouin sous caféine : rapide, léché, zéro script inutile.
Je vois déjà les développeurs pianoter, curieux de savoir si ce fork d’Arch Linux tient vraiment ses promesses.
Pas de suspense : la mouture 3.1.5 propulse une station de travail prête en moins de cinq minutes, Hyprland en prime.
Sommaire
Omarchy 3.1.5 : Arch Linux boosté au tiling moderne
Tout tourne autour de Hyprland, ce window manager façon Tetris qui colle l’appli pile là où je la veux sans me voler un pixel.
La distro débarque avec le noyau Linux 6.17, Neovim déjà peaufiné, Chromium dé-bloaté, Alacritty qui claque et même Spotify pour coder sous Prodigy.
J’appuie sur Enter, l’installeur texte tire les dépôts upstream en direct, compile le bureau, et je boot : chronomètre bloqué à 04 :49, SSD standard, pas de magie noire!
Installation express : clavier, café, et c’est plié
La routine de déploiement scanne le matériel, active PipeWire, pousse les micro-services optionnels, puis lance un script post-install qui nettoie le cache pacman pour éviter la prise de poids.
Omarchy n’impose pas de launcher graphique ; je reste dans mon terminal noir, un simple alias omarchy-update gère les mises à jour et redémarre Hyprland sans tuer les sessions Wayland.
Finie la chasse aux dépendances que je connaissais sous Manjaro ou KDE Neon, tout est packagé façon « opiniâtre mais cohérent ».
Pourquoi quitter Ubuntu ou Fedora pour Omarchy ?
Je l’avoue, Ubuntu 24.10 tourne bien, sauf quand Snap décide de mettre LibreOffice en hibernation cryogénique.
Fedora ? Nickel pour GNOME, moins quand je veux un tiling natif, et les RPM Fusion manquent encore de fraîcheur sur certains drivers.
Avec Omarchy, je profite du flux continu d’Arch sans le marathon d’une install vanilla, et sans l’overhead d’une Manjaro qui tamponne ses paquets.
Comparatif sauvage avec Debian, Red Hat et compagnie
Debian reste inébranlable pour les serveurs, mais sa branche stable fige mes libs Qt quand j’ai besoin du dernier Plasma.
Red Hat aligne un écosystème payant qui rassure les DSI, pourtant la télémétrie du support me fait grincer des dents.
Omarchy mise sur la transparence : pas de shadow repo, pas de plugin maison, juste pacman, makepkg et un repo d’extensions Hyprland maintenu par la communauté.
Productivité immédiate pour codeurs pressés
Je lance Neovim, la config Lua est déjà câblée, LSP auto-découverte, Copilot ré-installable en un copier-coller, pas besoin de fouiller GitHub.
Docker, Podman et flatpak sont prêts, mais désactivables, idéal pour ceux qui, comme moi, soupçonnent le SaaS derrière chaque container.
LibreOffice et Zoom pré-intégrés rappellent que oui, on finit toujours par relire un tableur ou rejoindre un stand-up, même sur une machine de puriste.
Et les autres distros orientées desktop créatif ?
Elementary OS soigne son design, cependant son AppCenter flatpakise tout, ce qui alourdit la RAM.
Solus se débat pour maintenir Budgie, tandis qu’Omarchy s’appuie sur des paquets upstream testés dès le commit.
Pour finir, KDE Neon brille pour les amoureux de Plasma, mais reste assis sur Ubuntu LTS, là où Omarchy vit dans le Edge perpétuel sans se casser les dents.
Faut-il sauter le pas ?
Si les rolling releases te font peur, reste sur Fedora Silverblue et profite des reboots automatiques.
Si, comme moi, tu veux la dernière API Rust sans attendre et un bureau qui obéit au clavier, Omarchy vaut le détour : stable ; visuellement punchy ; dépouillé comme un repo Git freshly cloned.
J’ai troqué ma session i3 pour Hyprland en une soirée, et je ne regarde plus en arrière, sauf pour rire quand un snap se met à gonfler à 2 Go.
Source: www.pcgameshardware.de
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